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Histoire d'une rupture subie

Histoire d'une rupture subie
  • Histoire d'une rupture. J'écris, pour survivre, pour ne pas me suicider, beaucoup vont rire certain vont pleurer, d'autre passer leur chemins ou critiquer, mais je sais moi, que si je n'écris pas, je meurs. Cliquez sur suivant en bas pour en voir plus.
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17 avril 2014

Si je sais d'ou je viens je ne sais ou je vais.

 « Je sais pas ou je vais, ni ce que je fais, j'ai joui et abusé de ma vie sans penser a « après », je vis maintenant mon « après », et il est difficile, il est plein de conséquences. Il me renvoi l'avant, ce que j'ai abîmé, mal fait, cassé. En vérité, j'ai besoin d'être sauvée, comme tu l'as si bien fait, malheureusement si peu de temps. Alors j'ai entrepris de tout gâcher, avec tout le monde, inconsciemment, mais maintenant que je suis seule, je le vois, et je vois ce que j'ai gâché, et avec qui : une relation avec celui qui a tenté tant bien que mal de me garder la tête hors de l'eau, avec mes amies proches. Et aujourd'hui je veux juste disparaître, que les gens oublient que j'existe, que personne ne se fasse un quelconque soucis de moi. Disparaître, redevenir transparente, comme quand j'avais 16 ans, n'exister pour personne, pas même pour moi, Tu me manques toujours, et lui aussi, vous qui avez oublié jusqu'aux prémices de mon existence. »

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4 mars 2014

"pulsion de mort qu'il disait"

« J'ai tout fait pour qu'il ne me connaisse pas, pour qu'au moment ou on se séparerais se soit moins difficile, mais aujourd'hui qu'il m'a quitté, c'est ce même sentiment d'abandon que quand tu es parti, alors que vous n'aviez rien a voir, il était un pilier, celui qui soutenait ce qu'il restait de moi, et je sais ça, maintenant qu'il est parti lui aussi, il a empêché que je m'écroule totalement, moi qui ai tout fait contre lui, jusqu'à lui mentir, jusqu'à être quelqu'un de différent, moi qui ne voulais pas qu'il me connaisse, qui ne voulait pas connaître son lui profond pour ne plus m’abîmer, je suis juste perdue encore plus, mon repère, mon pilier s'en est allé, et c'est bien plus difficile que je ne l'aurais cru, il comblait bien plus de chose que je ne l'aurais cru possible, j'ai cette sensation d'abandon profond, il était une sécurité de l'après Toi, ce soir est un mauvais soir. »

6 février 2014

les paroles s'envolent, les écris restent.

« Il y a un mur entre tout mes rêves et tes poèmes.

Et c'est vrai, sur le moment je ne m'en suis pas rendue compte, au moment ou tu as déclamé ce poème que je garde précieusement caché, toujours près de moi, à la personne de personne, poèmes que je relis, nostalgique, en larmes j'aimerais mourir tu sais. Non tu ne sais pas, tu n'es pas la. Il ne me reste que ton poème. »

6 février 2014

"what know?"

« Je pourrais poster la chanson, elle nous résume si bien, elle me résume si bien, car maintenant que j'avance sans toi, maintenant que je n'ai plus le choix, alors maintenant quoi ? Rien, je suis toujours vide, je n'ai personne a qui téléphoner quand je ne vais pas bien, personne a mon bras pour vivre avec moi le mariage de mes parents, personne pour me prendre dans ces bras pour me consoler des morts absent ce beau jour, personne pour défaire ma robe ce soir la. Je ne sais pas ou je vais, je ne sais pas ou tu es ni ce que tu fais. Ce que je sais c'est que je deviens quelqu'un sans toi, j'apprend a vivre sans toi. »

3 décembre 2013

"Je vais bien, tu me manques."

« Je vais bien. Enfin, je crois, c'est ce que je dis aux autres, en même temps que je diminue doucement mes médicaments, et que mon bonheur chimique s'évapore doucement. J'aimerais emmurer mon cœur, pour n'avoir plus jamais a trembler devant des sentiments, devant quelqu'un. T'oublier, m'évader. Ils sont plusieurs a vouloir que je me sente comme quand j'étais avec toi, entière, sans manque, sans peine. Alors, je leurs fait croire qu'ils me comblent entièrement, ce qui est totalement, complètement faux. Mais ça leur fait du bien, et je ne te laisserais plus jamais blesser personne, je ne me permettrais plus de faire du mal quand ton nom franchi mes lèvres, même s'il ne le quitte jamais, je le murmure désormais, il ne sonne plus que dans ma tête, il ne frappe plus que mon cœur, il n'y a plus que mes yeux qui froncent à ton évocation, et ceux de personne d'autre. Et peut être que, a force de convaincre les autres que je vais bien, j'arriverais a me convaincre moi que je vais bien, et alors j'irais mieux. Tu me manques. »

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6 novembre 2013

Le téléphone, ce traître.

« J'ai eu une espèce de flache, du soir ou on débattait au téléphone sur l'importance de l'argent dans un couple, dans la vie, sur les motivation que l'argent peut apporter a l'amour. Ce soir la, tu m'as dit que tu étais amoureux de moi, tu me l'as dit si clairement, dans le doute j'ai voulu que tu répètes, je t'ai entendu sourire a l'autre bout du fil, et me dire que j'avais très bien compris, mais que tu ne le redirais pas, car plus c'est rare, plus c'est bon non ? Moi et mon petit cœur qui n'avions rien demandé, et surtout pas ça. Ce soir la, de nouvelles perspectives se sont ouvertes a moi, celle d'aimer et rendre heureux jour après jour l'homme que tu es, celle de vivre pour que tu sois heureux, pour ton bonheur, pour que tu te lèves le matin et que tu te couches le soir dans cette même plénitude dont tu m'avais enveloppé, ce bien être doucement chaud,c'était comme un dimanche sous la couette à regarder la neige tomber dehors, cette puissance, être entière et vivre complètement, pleinement, regarder droit devant, la tête bien haute, être fière d'exister, d'être soi.

Aujourd'hui c'est si différent, si écroulé, si vide, et vide de toi. »

5 novembre 2013

"Mirrors"

« On ne répare pas l'irréparable n'est ce pas ?

Elle a fait claquer cette vérité comme claque un coup de fouet dans l'air, elle m'a fait comprendre, elle m'a fait entendre que j'étais brisée, plus que l'imaginable accepte, plus que le monde peut l'accepter. Rien ne me réparera jamais, jamais, je serais toujours un miroir brisé, fêlé, qu'un jour, j'irais mieux, qu'un jour, cela s'améliorera, mais que jamais plus je ne serais comme avant, ni ma vie, on trouve l'amour autrement,on s'en satisfait autrement, avec d'autre personnes, mais je serais toujours la personne que tu as involontairement anéantie, et je qui ne se relèvera jamais totalement. On ne répare pas l'irréparable. Douloureusement mais intensément vrai, elle m'a mit une claque en me disant cela, j'ai réalisé que c'était fini, que je devais avancer, parce que même déchirée, la vie continue, et que je vie encore, que je le veuilles ou non, je suis toujours vivante, mais cette phrase, c'est comme si on reconnaissait la blessure dont je souffre, c'est la reconnaissance de cette plaie si grande, que jamais rien ne pourra la guérir ni la faire oublier. Elle est si douce quand elle me parle, elle est prête a me laisser le temps, elle semble comprendre ce besoin de pleurer encore et encore, ce besoin de rester enfermé sur soi, cet empêchement de se bouger, de bouger. »

5 octobre 2013

"Tu étais formidable, j'étais fort minable"

« L'autre jour, j'étais chez la famille ou je travaille, et à l'étage, ils avaient laissé leur porte de chambre ouverte, la chambre conjugale, celle ou on s'imagine tout plein de chose, la chambre de couple, La Chambre... Elle a rien de particulier cette chambre, elle est simple, un lit un bureau une armoire, un peu de bazar, mais je saurais pas dire pourquoi, elle m'a marqué, douloureusement, j'avais envie de pleurer, comme si j'avais été frapper, j'ai pensé a toi, a cette chambre qu'on aurait jamais, et puis j'ai pensé à l'autre, qui comme toi n'a aucune envie de fonder un foyer avec moi, et qui pourtant me supplie de passer du temps avec lui, de lui parler, de lui raconter tout, le pourquoi du comment d'avec qui, tu me manques, je t'aurais laissé me passer la bague au doigt les yeux fermé, pleurant de joie de t'avoir Toi, j'arrive pas a m’empêcher d'imaginer cette journée avec toi, celle la même qui n'arrivera jamais dorénavant, je peux pas, j'y arrive pas, et les longs moment ou je le fait, j'ai l'impression d'être délivré de la douleur, tu vois, je m'envole ailleurs, tout disparaît, ne reste que toi moi et mon sublime rêve, dans lequel je m'évade, bien trop souvent. Récemment on m'a conseillé de me faire aider par un professionnel, un spécialiste, mais je lui dirais quoi ? Que je déprime a cause d'une banale rupture ? Une rupture comme tout le monde en vis tout les jours ? Je sais à quel point c'est stupide de se laisser aller comme je le fait, mais... J'ai pensé me soigner avec quelqu'un d'autre, avec un placebo, mais ça ne marche pas, il ne me fait pas t'oublier, je ne peux pas t'oublier, le pire tu sais quoi ? C'est que je m'y suis attaché, et qu'il ne compte rien fonder avec moi, qu'il ne le veut pas. Double peine comme qui dirait, je le dis avec le sourire, mais je trouve que cela démontre bien a quel point on est incapable de m'aimer, ce que je conçoit tout a fait, je suis des femmes avec qui tu parles, passes un bon moment, ris, mais je ne suis pas des femmes qu'on épouse, qu'on enfante. Je suis juste moi, je sais ce à quoi j'ai droit. Mais je ne peux m’empêcher de te rêver mari, de te rêver père, de te rêver m'aimer encore et encore, m'habiller le matin uniquement pour te plaire, que tu me regardes avec les yeux qui brillent, nous lever le matin dans Notre chambre.

Petit coeur est tombé... sur une bombe.
Petit coeur est tombé... et ça fait mal, ça fait mal.

Je suis tombée sur une bombe, une bombe comme on en voit rarement.
Le coeur fait 'boum' puis tombe.
Sur une bombe.
Je suis tombée sur une bombe, une bombe qui te parle d'enfants.
Le coeur fait 'boum' puis tombe.
Sur une bombe à retardement.

Car c'est vrai a la fin, tu m'as parlé d'enfant, de mariage, de vie a deux quand moi je n'avais rien demandé, et maintenant, je n'arrive plus a me défaire de toi. WTF ?! »

30 septembre 2013

Besoin d'aide

Une absolue déception, tu me manques cher coeur, et ce soir je souffre car on m'a demandé de parlé de toi, et je ne peux prononcer ton nom sans faire couler des larmes, je hais parler de toi, je te hais toi, je te hais, j'ai envie de te frapper, si fort si fort, je te hais.

27 septembre 2013

Pas toi

« Je ne sais pas si c'est la vie ou le temps, mais quel qu'il soit, il m'a enlevé quelque chose de précieux, souvent. L'espoir est l’oxygène de la vie. Suis-je morte ? Ou retins-je seulement ma respiration en t'attendant ? Car on me l'a fait remarqué, je ne fais qu'attendre que tu reviennes et on m'a dit que j'avais l'air d'une petite chose fragile. Si j'étais un miroir, je serais brisé, au sol, éclaté, c'est comme ça que je me vois, en éclat, fissurée de part en part. Bien sûr que je t'attend, je ne veux pas un jour me dire que l'attente n'était pas suffisante, que je n'ai pas été assez patiente. Je me fiche de passer à coté d'autres histoires, tu es la seule histoire qui m'inspire, qui me fait rêver, qui me fait tenir. Je fais pas mal d'erreur ces temps ci, des erreurs horreurs je dirais, je me fais du mal, je m’abîme encore, le corps et le cœur, Elles me diraient que je m'autodétruis si elles lisaient ça, ou si elles m'entendaient me parler, elles diraient que c'est stupide d'attendre, qu'il faut que je me réveille, mais je ne veux pas me réveiller, pas sans toi, pas encore, je ne crois pas être prête pour affronter tout ça, tu me manques. »

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